Sculpture « Migrations »

Je vis dans un pays où la population a de tout temps dû émigrer pour des raisons économiques ou politiques. Au cours du XIXe siècle, dans certaines régions de Croatie, des villages entiers étaient à l’abandon et certaines maisons sont encore vides aujourd’hui.

Nous aspirons tous à un avenir meilleur, mais en quittant notre terre natale, nous laissons sans aucun doute un vide, aussi bien au sens géographique que dans le cœur de nos proches, tout en enrichissant la société qui nous a accueillis par notre présence, notre patrimoine et notre culture.

Je fais face à ces situations dans le cadre de mon travail.

Daniela Piculjian